À l’occasion de la réunion du Conseil d’administration de France Compétences ce 10 juillet, a été présentée la proposition de réduire dès la rentrée prochaine, les niveaux de prise en charge des contrats d’apprentissage.
L’U2P s’oppose catégoriquement à cette mesure qui ne tient pas compte des oppositions formulées par l’ensemble des organisations syndicales et patronales et qui remet en cause le rôle des branches professionnelles dans la définition des niveaux de prise en charge. Ce d’autant que cette mesure part d’un objectif de baisse globale de l’enveloppe dédiée par France compétences au financement de l’apprentissage, au lieu d’établir le juste prix applicable à chaque type de formation.
La décision conduirait à une baisse de la qualité des formations dispensées et du nombre d’apprentis, en totale contradiction avec la volonté de l’exécutif d’atteindre un million d’apprentis formés en France. Elle viendrait casser aussi le mouvement de création d’emploi de ces dernières années, qui repose largement sur le développement de l’apprentissage.
Ainsi l’U2P émet un avis défavorable sur la baisse unilatérale et systématique des niveaux de prise en charge des contrats d’apprentissage, et invite le gouvernement à ne pas prendre cette décision.
Tout en regrettant le contenu de la lettre de cadrage adressée le 1er août par le gouvernement aux partenaires sociaux, l’U2P s’est résolument engagée dans la négociation sur l’assurance-chômage.
Son chef de file, Michel Picon, Vice-Président de l’U2P, a constaté que les hypothèses de trajectoire financière du régime évoquées dans la lettre de cadrage étaient trop optimistes, très éloignées des prévisions de l’UNEDIC, et que les objectifs fixés aux partenaires sociaux n’étaient pas réalistes.
En particulier la demande gouvernementale d’affectation des excédents du régime vers France Travail d’une part et vers France Compétences d’autre part est quasiment de nature à faire échouer d’office la négociation entre les partenaires sociaux.
pour que la question du retour à l’emploi du plus grand nombre, au centre de la relation entre représentants des entreprises et des salariés, ne soit pas laissée à la main de l’Etat.
Pour l’U2P, les excédents du régime d’assurance chômage doivent prioritairement aller au désendettement du régime et à la formation par l’apprentissage qui a montré son efficacité en matière d’accès à l’emploi. En outre, l’U2P s’opposera à une augmentation des cotisations des entreprises en gardant l’espoir d’un abaissement de la charge des entreprises.
Pour autant, l’U2P est clairement attachée au régime d’assurance-chômage et à sa gestion paritaire et souhaite relever le défi de cette négociation. C’est le seul moyenÀ l’occasion de la réunion du Conseil d’administration de France Compétences ce 10 juillet, a été présentée la proposition de réduire dès la rentrée prochaine, les niveaux de prise en charge des contrats d’apprentissage.
L’U2P s’oppose catégoriquement à cette mesure qui ne tient pas compte des oppositions formulées par l’ensemble des organisations syndicales et patronales et qui remet en cause le rôle des branches professionnelles dans la définition des niveaux de prise en charge. Ce d’autant que cette mesure part d’un objectif de baisse globale de l’enveloppe dédiée par France compétences au financement de l’apprentissage, au lieu d’établir le juste prix applicable à chaque type de formation.
La décision conduirait à une baisse de la qualité des formations dispensées et du nombre d’apprentis, en totale contradiction avec la volonté de l’exécutif d’atteindre un million d’apprentis formés en France. Elle viendrait casser aussi le mouvement de création d’emploi de ces dernières années, qui repose largement sur le développement de l’apprentissage.
Ainsi l’U2P émet un avis défavorable sur la baisse unilatérale et systématique des niveaux de prise en charge des contrats d’apprentissage, et invite le gouvernement à ne pas prendre cette décision.
Tout en regrettant le contenu de la lettre de cadrage adressée le 1er août par le gouvernement aux partenaires sociaux, l’U2P s’est résolument engagée dans la négociation sur l’assurance-chômage.
Son chef de file, Michel Picon, Vice-Président de l’U2P, a constaté que les hypothèses de trajectoire financière du régime évoquées dans la lettre de cadrage étaient trop optimistes, très éloignées des prévisions de l’UNEDIC, et que les objectifs fixés aux partenaires sociaux n’étaient pas réalistes.
En particulier la demande gouvernementale d’affectation des excédents du régime vers France Travail d’une part et vers France Compétences d’autre part est quasiment de nature à faire échouer d’office la négociation entre les partenaires sociaux.
Pour autant, l’U2P est clairement attachée au régime d’assurance-chômage et à sa gestion paritaire et souhaite relever le défi de cette négociation. C’est le seul moyenÀ l’occasion de la réunion du Conseil d’administration de France Compétences ce 10 juillet, a été présentée la proposition de réduire dès la rentrée prochaine, les niveaux de prise en charge des contrats d’apprentissage.
L’U2P s’oppose catégoriquement à cette mesure qui ne tient pas compte des oppositions formulées par l’ensemble des organisations syndicales et patronales et qui remet en cause le rôle des branches professionnelles dans la définition des niveaux de prise en charge. Ce d’autant que cette mesure part d’un objectif de baisse globale de l’enveloppe dédiée par France compétences au financement de l’apprentissage, au lieu d’établir le juste prix applicable à chaque type de formation.
La décision conduirait à une baisse de la qualité des formations dispensées et du nombre d’apprentis, en totale contradiction avec la volonté de l’exécutif d’atteindre un million d’apprentis formés en France. Elle viendrait casser aussi le mouvement de création d’emploi de ces dernières années, qui repose largement sur le développement de l’apprentissage.
Ainsi l’U2P émet un avis défavorable sur la baisse unilatérale et systématique des niveaux de prise en charge des contrats d’apprentissage, et invite le gouvernement à ne pas prendre cette décision.
Tout en regrettant le contenu de la lettre de cadrage adressée le 1er août par le gouvernement aux partenaires sociaux, l’U2P s’est résolument engagée dans la négociation sur l’assurance-chômage.
Son chef de file, Michel Picon, Vice-Président de l’U2P, a constaté que les hypothèses de trajectoire financière du régime évoquées dans la lettre de cadrage étaient trop optimistes, très éloignées des prévisions de l’UNEDIC, et que les objectifs fixés aux partenaires sociaux n’étaient pas réalistes.
En particulier la demande gouvernementale d’affectation des excédents du régime vers France Travail d’une part et vers France Compétences d’autre part est quasiment de nature à faire échouer d’office la négociation entre les partenaires sociaux.
Pour autant, l’U2P est clairement attachée au régime d’assurance-chômage et à sa gestion paritaire et souhaite relever le défi de cette négociation. C’est le seul moyen